loingtain horizon
Dis moy esprit qui te fait voyager,
Qu’à mon coeur t’as fait chavirer ?
Qu’este donc à ta veue,
Ma demoiselle ta dépourvus?
Pour que toy, coeur honorable,
Aime sa maistresse véritable,
Et quand sa présence seulement,
Le corps face louange puissant.
Je bois ta peine, à sa loingtaine demeure,
Que la noirceur du temps ta fais douleur,
Et que pâleur de son abscence,
A lutter espreuve en silence.
La nuict, le jour, les heures,
Semble éternité à vostre bonheur,
Qui empesche de conoistre vostre destin,
Dans la tresvivante mort du lendemain.
Vostre espoir, chasse, qui feinct cette guerre,
Tant héroïque, estes à mes prières,
Monstre bien vostre flambeau brave et divin,
Que je ne peux questre rouge de mon teinct.
Par l’anneau de ma poësie,
Prend, toy, cognoissance ouye,
L’emoy qui m’atere à ton enfer,
rendant beauté, promesse à ta source terre .
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