Séparation
Les pas limpides théoriques fusionnant sur la blanche et réactualisée… par biais d’une entente féminine… révélation minimaliste… en début d’ère historique… entre cet et je… sur le savoir du psychologique et anatomique du tout à chacun… on prit en otage le dialogue médicalisé de notre non voyance… Des vagues d’airs insufflées de pars et d’autres de la devisions… on laissé le charme oratoire… diluer les pinceaux de nos émois… prendre possessions de la toile sylphide mais forte de souche.
La marche fût lente et souvent épisodique… le recul des pages ouvertes… orner le temps de latence… sans laisser la brise prendre pour autant… le silence en fiançailles. Les étapes ont étaient mises en bouche… par la prise correcte de répartie. Les « j’aime » et « commentaires »… ont fait palier notre ivresse du plus j’en serais… plus je voudrais en savoir… et les messages personnalisés intimistes… laissaient les nuages codés nos esprits sereins d’aisance. La pendule affichée une date futuriste… le sablier à découlé tout son grain… un seul d’entre eux tournoyais encore dans la partie supérieur… ne désirant prendre place auprès de ces compatriotes… de par le fait que la liaison n’est pris encore tout son sens… le miroir avait mis en écho l’image de l’autre… l’alphabétisation avait dénombrée le sujet dans son intégralité… mais le petit qui reste… celui qui terminera l’échange illusoire…, devra sublimer la plume et le rêve avec la palpitation au rendez vous. Sur la paillasse du pas de porte… la main recto verso sur le passage d’éveil… a fait somnoler la sanguinaire… laissant de marbre l’œillade premier… ajourer l’évidence réalité… les faits furent concret… le sablier enfin vider… le chemin parcouru sur l’océan des frontières navigatrices… prenaient enfin le goût du maître pâtissier. L’excursion à trouver définitivement son point de chute… sans embûches… et sans marche arrière désirée. L’union virtuelle à fait mouche… passion charnelle sera passerelle… à cette émotionnelle touche.
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